Sollicité, puisi Interdit de parole au Couvent...
Avant la représentation, que je me faisais un plaisir d'aller voir, des Oiseaux d'Aristophane, la présidente des Fioretti, organisatrice de la manifestation, m'avait demandé de prononcer un hommage à Jean-Jacques Boin. Je l'ai préparé avec soin, comme je l'aurais fait pour pour un grand-frère. Nous nous sommes vus avec cette personne samedi vers 13h pour régler la question minute de silence ou pas minute de silence...
Et puis, elle m'a appelé vers 16h (la représentation ayant lieu à 21h) pour m'indiquer que mon intervention n'était plus souhaitée...
J'ai été consterné de cette désinvolte-face, et je préfère ne pas formuler d'hypothèses sur les raisons qui y ont conduit.
Je suis logiquement resté à la maison au lieu d'assister au spectacle.
Vous trouverez ici ce que j’aurais dit si j'avais pu parler.
Et là, le message de Ferrante Ferranti, grand voyageur et photographe, auteur de nombreux ouvrages, dont certains coécrits avec Dominique Fernandez. Il était absent lors des funérailles de Jean Jacques Boin, et j'ai lu son hommage à sa demande.
Vous pourrez voir et entendre Ferrante Ferranti et Dominique Fernandez au CUM le mardi 6 décembre à 16h, évoquer la cité martyre de Palmyre.
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